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La Santé en Otage

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Message par MOSTEFAI Mekki Jeu 3 Fév 2011 - 18:58

LA SANTE EN OTAGE


Dès la plus haute antiquité, la santé avec son grand « S » occupe une place prépondérante dans les grandes nations par crainte de revers ou d’épidémie. Notre pays avait déployé des efforts considérables dans les achats de médicaments et d’équipements aussi qu’à la formation profonde des bons médecins avec toute la déontologie médicale ainsi les recherches scientifiques onéreuses qui avaient consenti des budgets colossaux. Mais il en vain, la conscience de certains médecins dans nos hôpitaux reste encore à justifier dans le terrain. Quant au para médical, il en demeure à dénoncer dans les négligences et le laisser aller par le manque de conscience et d’humanisme.

Le grand professeur PASTEUR dans une de ses citations qui est la suivante avait dis : « Ne me dis pas tes origines, ni ta race, ni ta nation, ni aussi ta religion, mais dis moi ce que tu souffre ». Comme aussi le dicton de voltaire dans une de ses citations, il avait dis : « Science sans conscience ce n’est que la ruine de l’âme ».

De voir flagrant sur les lieux la négligence bien visible à l’œil nu sans scrupule du personnel para médical et médical par le manque de conscience de sérieux envers les patients, bien grabataires qui souffrent. Aucun soutien moral ni intervention pour alléger à leurs souffrances ; Ne ce reste que pour la moralité de l’humanité. Cela prélude sans équivoque la décadence totale et le chaos d’une structure bien noble.

Où nous partirons dans un avenir médical incertain dépourvu d’humanisme ? Certainement cette question demeure sans réponse nous préoccupe dans le fond de notre pensée. Dans les pays sous-développés la prise de conscience est l’un des facteurs primordiaux pour apporter un réconfort aux patients qui reste l’objet fondamental à préserver. La sanction par des mesures draconiennes est immédiatement infligée à l’encontre des défaillants quelque soit sa position hiérarchique notamment du personnel para médical ou médical et ce malgré l’absence de moyens d’équipements et médicaux. Dans notre hôpital récent de la Wilaya de Saida, la prise de conscience est devenue de l’impossible et relève de l’utopie.

Tous les internés surtout de maladies chroniques plus précisément les diabétiques ont une espèce de phobie qui hantent leur esprit dès leur admission dans cet hôpital tout de suite une espèce de prémonition les frappent qui met objectivement la fin de leurs existences signifiée bien « La mort prématurée» les statiques sont bien claires démontrent le nombre de patients admis dans l’hôpital de Saida équivaut le nombre important de décès. Or aucune voie de recours réglementaires n’a été instaurée pour discerner précisément le mal médical ou la principale cassure. Cela reste un point obscure et tabou d’entamer une procédure de poursuite judiciaire dans notre pays. Tous les malades consciencieux de cette pagaille évitent d’être hospitalisé à Saida.

Lorsque la situation médicale s’avère compliquer et pour ne point incriminer le responsable défaillant le prétexte argumente la dissimulation de l’incompétence médicale qui exige l’évacuation immédiate vers des hôpitaux de régions limitrophes. Telle est la procédure et doctrine qui demeurent pour l’instant dans notre ville. Cela permet de sauver la face et d’effacer les traces qui blessent les parentés du patient d’une mort subite au cours du trajet.

Nous demandons dans quel but cette coutume et doctrine subsistent. D’après nos recherches auprès de cette institution médicale qu’elles glanent la médiocrité profonde relative aux corps médicaux et paras médicaux, il relève le manque de sensibilisation des responsables à haut niveau. Une majeure partie de ce corps qui constitue l’élément décisif est issue de la campagne dont son recrutement et sa formation exigent beaucoup de questions. Ce personnel a été bien sélectionné dans un cadre péjoratif pour en nuire le bon fonctionnement ainsi le recrutement des médecins spécialiste fait toujours défaut jalonner par les entraves aux moyens les plus rudimentaires à titre exemple l’acquisition du logement demeure une entorse aux postulants (Médecins Spécialiste) ou la lenteur du paiement de la rémunération. Donc marteler les individus afin qu’ils quittent et sursoient à leur poste de travail.

L’introduction est élaborée sommairement pour en donner un aperçu qui focalise les lumières sur l’hôpital Ahmed MEDEGHRI de la wilaya de Saida démontrant le paroxysme des lois et déontologie médicale de cette tâche noble par l’inconscience au quelle s’amplifiée davantage. Le détaille sera exhaustif relevant chaque étape depuis l’hospitalisation du malade jusqu'à sa sortie soit indemne, soit sur un cercueil. Nous n’incriminons nullement personne, mais notre devoir nous incite à mettre en relief les carences afin de contribuer de près ou de loin pour apporter à des solutions d’ordre médicales ou professionnelles. La situation actuelle s’empire davantage dont aucune mesure spontanée n’a été prise.

Nous allons décortiquer chaque service médical de cet hôpital, en mettant objectivement en évidence les réalités que se soient médicales ou administratives et en vous laissant le soins d’en juger mais il est de votre ressort de dénoncer à tout instant les gabegies non pas de soudoyer par un silence d’hypocrisie, car il faut le dire vous êtes tous concernés de loin ou de près par cette pagaille. Si cette dernière avait pris de l’ampleur à ce stade de saturation, ce n’est que par vos connivences. Donc le problème d’ordre de société nous concerne tous. Vos silences signifient bien vos complicités. Combien de fois les citoyens de cette Wilaya ont eu leur malade hospitalisé dans des conditions déplorables spécifiquement motivées par l’absence du corps médical ou l’agissement lambin du corps para médical envers les malades ?
Combien de fois aussi ces citoyens ont constaté les négliges et le pèle mêle d’ordre médical ou même le manque humanisme ?
Mais avec vos silences qui ne feraient qu’à amplifier que le mal et le justifier d’un prétexte non fonder à la réalité « ça peut arriver qu’autres ».

Il fut un temps ou nous avions qu’un petit hôpital dirigé un homme qui avait des capacités médicales et intellectuelles dont il tenait la gérance d’une main de fer, il s’agissait du docteur MOULAY Dieu est son âme.

Son ère était basé sur la compétence et le suivi rigoureux de la gestion, le personnel para médical perd tout équilibre dès que le feu Docteur MOULAY pénètre dans les lieux, il passait au peigne fin tous les services notamment dans le contexte d’hygiène et salubrité. Tout les corps que se soient médicaux ou para médicaux se plaignaient de la dureté de cet homme.

Des opérations chirurgicales à haut risque ont été effectuées dans ce modeste hôpital, les malades était rigoureusement suivi, pourtant notre circonscription était si vaste qui chapeautée les wilayate du sud notamment la wilaya d’El-Bayadh et de Nâama. A cette époque les moyens d’équipement et le personnel médical étaient rares pour faire face des situations précaires.

Mais la volonté de la personne était omniprésente dans tous les secteurs d’activités et à l’importe quel moment des temps. Pour ce qui est de l’évacuation des malades vers d’autres hôpitaux, elle ne se fait presque à jamais hormis vers les Centres Hospitaliers universitaires que pour des cas graves nécessitant des interventions plus complexes.

Les missions de coopération chinoises se succèdent mais bien contrôlée, leur compétence était justifiée sur le terrain. Le personnel para médical était sensiblement à la hauteur avec une conscience professionnelle élevée, mais toute cette machine médicale était réglée au diapason avec la bonne gérance du feu docteur MOULAY.

Comme les grands poètes disaient « On n’est redevable de connaître la valeur intrinsèque de l’individu qu’après son départ ».












MOSTEFAI Mekki

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