Protesta ZENKA-ZENKA!!!!!
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Protesta ZENKA-ZENKA!!!!!
Bonjour ! sous le titre protesta zenka -zenka que notre ami TAHAR DIAB a poste cet article dans le soir d algerie .. Il semble rait que desormais le zenka-zenka cher au dictateur fou fou fou fou mais pas si bete bete bete que ca ..soit adopte ..C est a coup de zenka -zenka reprise du maghreb au machrek que le printemps arabe voit enfin le jour Mabrouk aalina rihh el houria ...
Laaredj baghdadi
Après avoir saisi les instances locales et nationales concernées, les habitants du bidonville de la cité Commandant- Mejdoub viennent une fois de plus de solliciter le wali à travers une pétition diffusée au niveau de la maison de la presse de Saïda.
Dans bon nombre de nos villes et villages, ou à leur périphérie, viennent se blottir des constructions illicites. Le bidonville de la cité Commandant- Mejdoub s'est niché à la sortie sud de la ville, sur une berge escarpée de l'oued, à un endroit où la paisible rivière vient finir sa lente traversée de la belle forêt récréative du Vieux-Saïda. Dans leur requête, les pétitionnaires s’étonnent des réactions du chef de daïra qui les accuse «d'engendrer tous les maux de l'urbanisme dans toute la wilaya qui, à cause de leur occupation illégale, connaît d'énormes défaillances au niveau des VRD (eau, assainissement...) et la surcharge des salles de classes et de ce fait, l'administration ne peut satisfaire vos doléances…». Le dernier point soulevé relatif à la scolarisation fait sans nul doute allusion à l'exode rural qui pousse les autorités compétentes à ne pouvoir éradiquer ce phénomène qu'en recensant les occupants afin de ne pas léser les autres demandeurs de logements dont les familles – par morale citoyenne ou manque de courage c'est selon – préfèrent continuer à souffrir de l'exiguïté de la demeure parentale et ne pas opter pour l'aventure incertaine d'une construction illicite, une astuce sociétale récurrente et multipliée visant le fait accompli. Il est utile de rappeler que la cité Commandant- Mejdoub, communément appelée El- Ougoub, fut la première à accueillir le recasement d'une partie des habitants du premier bidonville implanté à l'emplacement d'un ancien camp de regroupement, éradiqué, à l'entrée ouest de la ville. Pour l'histoire colportée de mémoire, le commandant Mejdoub – de son vivant – promettait, disait-on, que les habitants d'El-Ougoub seraient les premiers occupants des riches villas des colons du quartier résidentiel des Castors. Ce premier bidonville fait face en amont à un autre bidonville et de plus grande envergure, la cité Commandant-Daoudi-Moussa, et ces deux points noirs juxtaposés étaient la hantise des locaux car les officiels préféraient entamer leurs visites par cet accès ouest qui offre une belle vue panoramique de l'ancienne ville. Alors, un ancien responsable politique (ex-serviteur agricole zélé de Sa Majesté comme il lui plaisait de s'en vanter) suggéra – dans le but de dissimuler les deux plaies – de creuser, à l'abri des regards, une route encaissée dans la colline médiane… Le coût faramineux, non planifié, et la faisabilité, non étudiée, ont eu raison de l'abandon de ce fameux projet qui garde ses vestiges en témoignage de son histoire aventureuse… Si vous entendez le refrain socio-politique «Zenga Zenga», dites-vous bien que celui qui le chante est un mal-loti, il le fredonne pour se soulager…
Tahar Diab
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Laaredj baghdadi
Après avoir saisi les instances locales et nationales concernées, les habitants du bidonville de la cité Commandant- Mejdoub viennent une fois de plus de solliciter le wali à travers une pétition diffusée au niveau de la maison de la presse de Saïda.
Dans bon nombre de nos villes et villages, ou à leur périphérie, viennent se blottir des constructions illicites. Le bidonville de la cité Commandant- Mejdoub s'est niché à la sortie sud de la ville, sur une berge escarpée de l'oued, à un endroit où la paisible rivière vient finir sa lente traversée de la belle forêt récréative du Vieux-Saïda. Dans leur requête, les pétitionnaires s’étonnent des réactions du chef de daïra qui les accuse «d'engendrer tous les maux de l'urbanisme dans toute la wilaya qui, à cause de leur occupation illégale, connaît d'énormes défaillances au niveau des VRD (eau, assainissement...) et la surcharge des salles de classes et de ce fait, l'administration ne peut satisfaire vos doléances…». Le dernier point soulevé relatif à la scolarisation fait sans nul doute allusion à l'exode rural qui pousse les autorités compétentes à ne pouvoir éradiquer ce phénomène qu'en recensant les occupants afin de ne pas léser les autres demandeurs de logements dont les familles – par morale citoyenne ou manque de courage c'est selon – préfèrent continuer à souffrir de l'exiguïté de la demeure parentale et ne pas opter pour l'aventure incertaine d'une construction illicite, une astuce sociétale récurrente et multipliée visant le fait accompli. Il est utile de rappeler que la cité Commandant- Mejdoub, communément appelée El- Ougoub, fut la première à accueillir le recasement d'une partie des habitants du premier bidonville implanté à l'emplacement d'un ancien camp de regroupement, éradiqué, à l'entrée ouest de la ville. Pour l'histoire colportée de mémoire, le commandant Mejdoub – de son vivant – promettait, disait-on, que les habitants d'El-Ougoub seraient les premiers occupants des riches villas des colons du quartier résidentiel des Castors. Ce premier bidonville fait face en amont à un autre bidonville et de plus grande envergure, la cité Commandant-Daoudi-Moussa, et ces deux points noirs juxtaposés étaient la hantise des locaux car les officiels préféraient entamer leurs visites par cet accès ouest qui offre une belle vue panoramique de l'ancienne ville. Alors, un ancien responsable politique (ex-serviteur agricole zélé de Sa Majesté comme il lui plaisait de s'en vanter) suggéra – dans le but de dissimuler les deux plaies – de creuser, à l'abri des regards, une route encaissée dans la colline médiane… Le coût faramineux, non planifié, et la faisabilité, non étudiée, ont eu raison de l'abandon de ce fameux projet qui garde ses vestiges en témoignage de son histoire aventureuse… Si vous entendez le refrain socio-politique «Zenga Zenga», dites-vous bien que celui qui le chante est un mal-loti, il le fredonne pour se soulager…
Tahar Diab
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baghdadi laaredj- membre super actif
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