L'HISTOIRE DU DINDON DE LA BASSE-COUR
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L'HISTOIRE DU DINDON DE LA BASSE-COUR
L’HISTOIRE DU DINDON DE LA BASSE-COUR
Il était une fois dans les temps où les fermiers savent apprécier à sa juste valeur les élevages de volailles de toutes espèces oiseaux et constituent les bonnes basses-cours de campagnes.
Comme toutes les volailles faisant partie d’un élevage d’une bonne ferme de campagne il y a tous sortes d’oiseaux constituant une très belle basse-cour. Les plus répandus sont en général les coqs, les poules et les dindons. Les coqs cocotent tous les matins à des heures fixent signalant bien l’aube du jour et informent les fermiers le levé du soleil, les poules caquètent signalant aussi qu’elles ont bien débarrassé de leur œuf toute cette harmonie de sons et de cris donnent d’une manière générale une symphonie simultanément une cacophonie d’une aviculture
Malgré leur taille, si grande et un peu terrifiante y vivent en cohésion les dindons avec le reste de volailles, mais, il se trouve qu’un seul dont il est le doyen de la basse-cour. A cause de son âge avancé et sa chaire en carapace, le fermier n’a pas pu s’en débarrasser, ni pour le vendre ou l’égorger, il est obsolète. Ce dindon comme, il est libre à sa guise sème le désordre et la pagaille où il pénètre, se croyant le Dieu des lieux. Son allure vraisemblablement monstrueuse et laide, lorsqu’il veut impressionner ses semblables ou les volailles de la basse-cour, il arbore son costume typiquement séculaire et il commence à pavaner dans la basse-cour avec l’air hautain, il est pathétique, Il donne des ordres controversés pour se convaincre d’abord à lui-même qu’il est le suprême et toutes les décisions lui reviennent d’en décider. Il s’irrite spontanément d’être contrarier, il aime être amadoué surtout lorsque ses vallées à quatre sous lui présentent quelques éloges, en bref il est irascible.
Quand, les évènements tournent mal, à titre d’exemple, les marchands de volailles viennent à la ferme pour acheter. Notre fameux doyen dindon se cache et s’amenuise, on n’entend plus sa voix, ni sa démarche ostentatoire dandinée. Il se confine dans sa tanière jusqu’au départ des marchands de volailles. Alors, après, il se manifeste et commence à se râler de dire à ses vallées à quatre sous, qu’il à vraiment défendu auprès du fermier la cause de ses semblables et le reste de la basse-cour pour préserver l’équilibre de l’aviculture.
Notre pauvre malheureux dindon est malade et souffre d’une maladie pathologique de schizophrénie, maintenant il soliloque tout en perdant son cri naturel. Il se leurre d’être le terrifiant des contes de fée.
C’est ainsi s’achève cette histoire basée sur les volailles d’une quelconque basse-cour, mais au faite, elle relate les événements réels dans notre société, notamment dans notre ville. Ses acteurs sont partout dans l’administration et autres secteurs. Je laisse le soin aux lecteurs d’en définir chacun à sa manière. Merci pour la compréhension.
Il était une fois dans les temps où les fermiers savent apprécier à sa juste valeur les élevages de volailles de toutes espèces oiseaux et constituent les bonnes basses-cours de campagnes.
Comme toutes les volailles faisant partie d’un élevage d’une bonne ferme de campagne il y a tous sortes d’oiseaux constituant une très belle basse-cour. Les plus répandus sont en général les coqs, les poules et les dindons. Les coqs cocotent tous les matins à des heures fixent signalant bien l’aube du jour et informent les fermiers le levé du soleil, les poules caquètent signalant aussi qu’elles ont bien débarrassé de leur œuf toute cette harmonie de sons et de cris donnent d’une manière générale une symphonie simultanément une cacophonie d’une aviculture
Malgré leur taille, si grande et un peu terrifiante y vivent en cohésion les dindons avec le reste de volailles, mais, il se trouve qu’un seul dont il est le doyen de la basse-cour. A cause de son âge avancé et sa chaire en carapace, le fermier n’a pas pu s’en débarrasser, ni pour le vendre ou l’égorger, il est obsolète. Ce dindon comme, il est libre à sa guise sème le désordre et la pagaille où il pénètre, se croyant le Dieu des lieux. Son allure vraisemblablement monstrueuse et laide, lorsqu’il veut impressionner ses semblables ou les volailles de la basse-cour, il arbore son costume typiquement séculaire et il commence à pavaner dans la basse-cour avec l’air hautain, il est pathétique, Il donne des ordres controversés pour se convaincre d’abord à lui-même qu’il est le suprême et toutes les décisions lui reviennent d’en décider. Il s’irrite spontanément d’être contrarier, il aime être amadoué surtout lorsque ses vallées à quatre sous lui présentent quelques éloges, en bref il est irascible.
Quand, les évènements tournent mal, à titre d’exemple, les marchands de volailles viennent à la ferme pour acheter. Notre fameux doyen dindon se cache et s’amenuise, on n’entend plus sa voix, ni sa démarche ostentatoire dandinée. Il se confine dans sa tanière jusqu’au départ des marchands de volailles. Alors, après, il se manifeste et commence à se râler de dire à ses vallées à quatre sous, qu’il à vraiment défendu auprès du fermier la cause de ses semblables et le reste de la basse-cour pour préserver l’équilibre de l’aviculture.
Notre pauvre malheureux dindon est malade et souffre d’une maladie pathologique de schizophrénie, maintenant il soliloque tout en perdant son cri naturel. Il se leurre d’être le terrifiant des contes de fée.
C’est ainsi s’achève cette histoire basée sur les volailles d’une quelconque basse-cour, mais au faite, elle relate les événements réels dans notre société, notamment dans notre ville. Ses acteurs sont partout dans l’administration et autres secteurs. Je laisse le soin aux lecteurs d’en définir chacun à sa manière. Merci pour la compréhension.
MOSTEFAI Mekki-
Localisation : SAIDA
Nombre de messages : 45
Date d'inscription : 02/02/2011
Re: L'HISTOIRE DU DINDON DE LA BASSE-COUR
SALAM SI MOSTEFAI.
Elle est trés belle cette histoire du dindon, cest une belle leçon de moral OUEL FAHEM YAFHAM merci encore SI MOSTEFAI.
Elle est trés belle cette histoire du dindon, cest une belle leçon de moral OUEL FAHEM YAFHAM merci encore SI MOSTEFAI.
messaoudi A- membre super actif
-
Localisation : SAIDA
Nombre de messages : 1949
Age : 71
Date d'inscription : 18/09/2009
Re: L'HISTOIRE DU DINDON DE LA BASSE-COUR
Le corbeau et le renard:
Maître corbeau, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maître renard par l'odeur alléché ,
Lui tint à peu près ce langage :
«Et bonjour Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli! que vous me semblez beau!
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois»
A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie;
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec laisse tomber sa proie.
Le renard s'en saisit et dit: "Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute:
Cette leçon vaut bien un fromage sans doute."
Le corbeau honteux et confus
Jura mais un peu tard , qu'on ne l'y prendrait plus.
moralité:cette fable fait voir ce que peut l'esprit,et que la sagesse est toujours la plus forte.
Maître corbeau, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maître renard par l'odeur alléché ,
Lui tint à peu près ce langage :
«Et bonjour Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli! que vous me semblez beau!
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois»
A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie;
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec laisse tomber sa proie.
Le renard s'en saisit et dit: "Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute:
Cette leçon vaut bien un fromage sans doute."
Le corbeau honteux et confus
Jura mais un peu tard , qu'on ne l'y prendrait plus.
moralité:cette fable fait voir ce que peut l'esprit,et que la sagesse est toujours la plus forte.
khelladi mohamed- membre super actif
-
Localisation : oran
Nombre de messages : 2688
Date d'inscription : 21/01/2010
Re: L'HISTOIRE DU DINDON DE LA BASSE-COUR
Rien ne sert de courir; il faut partir à point :
Le lièvre et la tortue en sont un témoignage.
«Gageons, dit celle-ci, que vous n'atteindrez point
Sitôt que moi ce but. - Sitôt? Êtes-vous sage ?
Repartit l'animal léger :
Ma commère, il vous faut purger
Avec quatre grains d'ellébore.)
- Sage ou non, je parie encore."
Ainsi fut fait; et de tous deux
On mit près du but les enjeux :
Savoir quoi, ce n'est pas l'affaire,
Ni de quel juge l'on convint.
Notre lièvre n'avait que quatre pas à faire,
J'entends de ceux qu'il fait lorsque, prêt d'être atteint,
Il s'éloigne des chiens, les renvoie aux calendes,
Et leur fait arpenter les landes.
Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter,
Pour dormir et pour écouter
D'où vient le vent, il laisse la tortue
Aller son train de sénateur.
Elle part, elle s'évertue,
Elle se hâte avec lenteur.
Lui cependant méprise une telle victoire,
Tient la gageure à peu de gloire,
Croit qu'il y a de son honneur
De partir tard. Il broute, il se repose,
Il s'amuse à toute autre chose
Qu'à la gageure. A la fin, quand il vit
Que l'autre touchait presque au bout de la carrière,
Il partit comme un trait; mais les élans qu'il fit
Furent vains : la tortue arriva la première.
"Eh bien! lui cria-t-elle, avais-je pas raison ?
De quoi vous sert votre vitesse ?
Moi l'emporter! et que serait-ce
Si vous portiez une maison ?"
Le lièvre et la tortue en sont un témoignage.
«Gageons, dit celle-ci, que vous n'atteindrez point
Sitôt que moi ce but. - Sitôt? Êtes-vous sage ?
Repartit l'animal léger :
Ma commère, il vous faut purger
Avec quatre grains d'ellébore.)
- Sage ou non, je parie encore."
Ainsi fut fait; et de tous deux
On mit près du but les enjeux :
Savoir quoi, ce n'est pas l'affaire,
Ni de quel juge l'on convint.
Notre lièvre n'avait que quatre pas à faire,
J'entends de ceux qu'il fait lorsque, prêt d'être atteint,
Il s'éloigne des chiens, les renvoie aux calendes,
Et leur fait arpenter les landes.
Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter,
Pour dormir et pour écouter
D'où vient le vent, il laisse la tortue
Aller son train de sénateur.
Elle part, elle s'évertue,
Elle se hâte avec lenteur.
Lui cependant méprise une telle victoire,
Tient la gageure à peu de gloire,
Croit qu'il y a de son honneur
De partir tard. Il broute, il se repose,
Il s'amuse à toute autre chose
Qu'à la gageure. A la fin, quand il vit
Que l'autre touchait presque au bout de la carrière,
Il partit comme un trait; mais les élans qu'il fit
Furent vains : la tortue arriva la première.
"Eh bien! lui cria-t-elle, avais-je pas raison ?
De quoi vous sert votre vitesse ?
Moi l'emporter! et que serait-ce
Si vous portiez une maison ?"
khelladi mohamed- membre super actif
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Localisation : oran
Nombre de messages : 2688
Date d'inscription : 21/01/2010
Rep à l'histoire du dindon de la basse-cour
Rep à l'histoire du dindon de la basse-cour
Lorsque j’ai écris l’histoire du dindon de la basse-cour, j’ai bien expliqué en bas du texte les événements dans notre société et notamment dans notre ville de Saida, j’en ai nullement besoin de recourir à des fables de la fontaine pour essayer CAHIN--CAHA de mettre en lumière certaines carences. J’étais direct dans mes objectivités. Je pense que Monsieur MESSAOUDI a compris les évènements de l’histoire et son sens différé. Pourtant, elle n’est pas ambigüe.
Si par hasard, on n’arrive pas à déceler le vrai sens de l’histoire, je ne pourrais que conseiller à l’assistance de lire mon texte écrit dans ce forum intitulé les faiseurs ou faiseuses de trouble Fin de citation OUEL FAHEM YAFHAM.
Lorsque j’ai écris l’histoire du dindon de la basse-cour, j’ai bien expliqué en bas du texte les événements dans notre société et notamment dans notre ville de Saida, j’en ai nullement besoin de recourir à des fables de la fontaine pour essayer CAHIN--CAHA de mettre en lumière certaines carences. J’étais direct dans mes objectivités. Je pense que Monsieur MESSAOUDI a compris les évènements de l’histoire et son sens différé. Pourtant, elle n’est pas ambigüe.
Si par hasard, on n’arrive pas à déceler le vrai sens de l’histoire, je ne pourrais que conseiller à l’assistance de lire mon texte écrit dans ce forum intitulé les faiseurs ou faiseuses de trouble Fin de citation OUEL FAHEM YAFHAM.
MOSTEFAI Mekki-
Localisation : SAIDA
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Date d'inscription : 02/02/2011
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