Si HAMMADOU Mohamed n'est plus

Bonjour mes amis, je viens d'apprendre le décés de si Mohamed HAMMADOU (dit MOHA),
INNA LILLAHI OUA INNA ILEYHI RADJI3OUNE.En cette douloureuse circonstance , je présente
à la famille HAMMADOU mes sincères condoléances les plus attristées.
SABR OUA SILOUANE A SA FAMILLE.

C EST UNE BIEN STRISTE NOUVELLE !! MON AMI MOUHA VIENT DE NOUS QUITTER ! Sa derniere phrase s adressant a moi etait !!SACRE LAAREDJ TU NE CHANGERAS PAS !! Oui Mohamed je n aurais plus ce plaisir de te faire rire aux eclats ! je n aiurais plus ces recettes de bonnes blagues que tu me refilais! Oui je te savais malade et a chaque fois que je te voyais rire aux eclats ,tu me confirmais ta joie de vivre et de vaicre ta maladie qui te rongeait! Tu voulais uniquement survivre pour voir tes enfants le plus longtemps possible ! DIEU TOUT PUISSANT EN A DECIDE AUTREMENT PUISSE T IL T ACCEPTER DANS SON VASTE PARADIS !! JE SUIS CERTAIN QUE TU Y ES DEJA ! DES MOHAMED HAMMOUDOU CA NE NE VA EN ENFER ! JE LE SAIS !! JE LE SENS REPOSE EN PAIX CHER FERE!! TON AMI LAAREDJ BAGHDADI

3adama allah adjrrakoum...!
sincères condoléances à la famille Hamadou, tres touché par la perte de notre ami et frère mohamed. partageons cette immence douleur avec sa famille et ses proches et prions dieux de l'accueillir avec clémence et misericorde au pres de ses frères deja au paradis.
inna lilah wa inna ilayhi radji3oun, allah oumma arham-hou wa adkhil-hou jannatek.

ALLAH YERHMEK KHOUYA MOHA, AUJOURD'HUI JE T'AI PLEURÉ DE TOUTES LES LARMES DE MON CORPS.
J'AI PLEURÉ PARCE QUE TU T'EN VAS ET PARCE QUE MOI ICI JE ME MORFONDS FEL GHORBA LOIN DES MIENS

ALLAH GHALEB

Allah akbar la haoula wa la kouata ila bi allah ina li allah wa ina ilayhi radjioun.


En cette douloureuse circonstances je présente, en mon nom et au nom de
la famille BENDJOUDI, mes sincères condoléances à la famille du défunt
et que dieu l'accueille dans son vaste paradis.

ALLAHOU AKBAR

INNA LILLAHI OUA INNA ILAYHI RAJIOUNE


Mes sincères condoléances les plus attristées à la famille endeuillée, et prions le Tout Puissant, Clément et Miséricordieux d'accueillir notre frère HAMADOU MOHAMED qui a préféré rejoindre le ciel, dans son éternel Paradis

C'est en cours de route vers Mostaganem, où j'allais assister aux funérailles d'un parent décédé, que j'ai appris, suite à un contact téléphonique de mon frère SI OMAR Benzai, la triste, regrettable et tragique nouvelle de la disparition de notre défunt Moha ALLAH YARHMAH...

Je n'ai pu qu'insister pour revenir à Saida, en pleine nuit, et je viens tout juste de rentrer chez moi, je ne peux, en toute modestie, expliquer cette attitude, cependant, un besoin urgent de me sentir à Saida me rongeait le cœur de ne pas avoir pu assister à l'enterrement, je voulais être parmi les miens, pleurer avec eux cette énième disparition qui nous désarticule et nous émiette ...

Rallumons notre solidarité, notre fraternité, notre amour pour Saida, au sein de Saida et autour de Saida, le temps nous est compté et ne joue plus en notre faveur, nous n'avons que quelques jours de sursis , investissons-les à un amour fraternel partagé, car notre fraternité, notre amitié n'ont pas de prix, la mort est toujours là en train de nous guetter, en kidnappant chaque jour un d'entre nous

ADIEU MOHA


« C’est la mort qui console, hélas ! et qui fait vivre » ;
Un vers de Baudelaire, extrait de ses fleurs…,
Moha nous a quitté ! en nous léguant son sourire !
Ô Mort, kidnappeur ! quel est ce malheur ?

Robuste et intrépide, mais désarmé par sa santé,
Sur son front jovial, le paradis se dessinait !
Par ce signe des prières, l’identité est déclinée,
Un être devenu, l’icône du sourire et de bonté !

Sur sa santé, on s’inquiétait hier ?
Aujourd’hui, fidèles, on lui doit des prières !
Chaque jour, insouciants, à la mort nous sonnons !

En lui disant en larmes, Adieu cher frère !
Tristes et résignés, nous récitons en pleurs :
« A Dieu nous appartenons et à lui nous retournons »


Saida le 19/09/2008 à 2H40
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Moha,mon ami d'enfance.

Je ne réalise pas encore que Moha est décédé


Je l'aimais comme un frère. J'aimais son sourire complice et sa
générosité. Il souriait d'un air entendu, puis vous racontait une
blague subtile: c'était sa façon à lui de dire aux gens qu'il les
aimait. Un homme cultivé, intelligent, aimant ses filles et sa famille
et les protégeant avec douceur.

Maamar, je pleure avec toi et avec toute sa famille. Je suis avec vous,
les Hamadou, une si belle famille, de tout mon coeur et de toute ma
peine.

Moha ne mourra jamais dans mon coeur.
BAHLOUL ABDELKRIM.

Salem à tous les gens originaire de saida et qui vivent en France.