ALERTE AUX MANIPULATIONS

il est difficile de traverser le quartier Amrous même en voiture il faut fermer les vitres car l'amoncellement d'ordures n'est pas seulement nauséabond mais il peur provoquer la peste bubonique en plus des cas d'hépatites virales croissants

Quel rapport entre l'alerte à la manipulation et Amrous ?

et à qui la faute si amrous se trouve dans cet état ?

Malgré tout beaucoup de moudjahidines sont sortis d'Amrous et personne ne pourra dire le contraire

Bonsoir Mr. Othmani,

Vous faites référence à un article paru dans un autre forum
qui selon vous prend la défense d'un officier du 2° bureau.
Cet article vous l'avez mal lu et mal compris.
La première partie de l'article était la version de l'évènement tel que l'a rapporté
le fils du policier Getz sur le "net".
La seconde était ma réponse à sa version.
J'aurai souhaité que d'autres forumistes racontent des faits vécus par eux même afin
de maintenir la mémoire vivante de notre pays.
Quant à l'inconscience je crois qu'elle n'avait pas sa place dans ce débat.

Amitiés.

Bonsoir,

Voici le texte du message que j'ai fait paraître concernant Gretz.

Bonjour,

27 Avril 1958 :

Témoignage de M. Gretz Guy, fils de la victime. Gretz Clément, né le 23 novembre 1902. Brigadier de Police à Saïda, il habitait rue Gallieni "Villa des Roses".
Le 27 avril 1958, mon père n'était pas de service, il se promenait vers 15 heures, route du Stade, en compagnie d'un petit vieux et de son fils. A l'embranchement qui mène derrière le stade, deux tueurs étaient en embuscade; mon père et le vieil homme furent tués, le jeune s'échappa et pu donner des renseignements. Quinze Jours plus tard le Commandant Peretti qui effectuait un vol en hélicoptère au-dessus de la ferme Bremond aperçut trois hommes dont deux armés qui en encadraient un troisième; il demanda au pilote de le déposer et d'appeler du renfort. Armé d'une carabine américaine il réussit à freiner la fuite des rebelles; il fut même blessé au ventre. La Légion arriva rapidement, les deux hommes armés furent tués. Le Jeune homme n'était autre que le fils du caïd Ghazi, seul musulman qui osa assister aux obsèques de mon père; Il reçut une balle dans la tête le même jour vers midi. Le terroriste fût abattu j'ignore par qui.
Je rends hommage au Commandant Peretti pour son courage; malheureusement il se tua en hélicoptère quelques temps après. Convoqués à la Gendarmerie j'appris que les deux tueurs avaient la liste des gens qu'ils devaient assassiner à Saïda. A cette occasion j'ai pu voir des photos, les deux rebelles, un seul était de Saïda, et d'autres photos concernant des européens et des musulmans dont les corps avaient été mutilés par le FLN; pas beau à voir...
Le Caïd Ghazi a subi le même sort; la famille avait choisi un cercueil, ce n'était pas la coutume musulmane, mais ils devaient avoir eu des menaces, dans la nuit il fût malgré le cercueil déterré et mutilé.

Ce qui précède est le témoignage du fils de monsieur Gretz maintenant voici le mien :[/color]

On jouait au football dans le champ de la ferme Hamidat à côté du Souk (Marché à bestiaux)
Tout d’un coup on a entendu des détonations prenant peur on a suspendu notre jeu quelques minutes et on a repris comme si rien ne s’était passé. Quelque temps après un 4x4 militaire avec 6 soldats à bord précédé par une voiture de police toute sirène hurlante remonte en direction du stade. Pris de panique nous nous enfuyons chacun de son côté.
Le lendemain on apprend que 3 bergers ont été tués dont un que je connaissais bien. C’était Benabdellah berger chez Si Mohammed Ould Djelloul père de Othmani Abdelkader alias Habichou.
Mon souhait est que chaque Saidéenne ou Saidéen ayant des souvenirs de sa jeunesse les raconte sans gêne ni a priori. C’est comme cela que nous arriveront à écrire l’histoire de notre chère cité.

Amitiés.