UN SAIDEEN NOMME BOUBOUL!!!!!
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UN SAIDEEN NOMME BOUBOUL!!!!!
Bonjour ! Monsieur KERROUM ABDELKRIM Dit BOUBOUL fait partie de cette generation qui a tout donne a SAIDA ! Nous N oublierons jamais ces demarrages en trombe et votre tres belle frappe de balle ! Vous avez ete un GRAND FOOT BALLEUR toujours egal a lui meme ! De contact super facile et qui a fait votre CHAABIA ! Vous etiez notre idole Notre fierte ! MERCI BOUBOUL Merci fils de LALLA SAIDA !
L Baghdadi
Voici un article qui retrace la vie de MONSIEUR KERROUM ABDELKRIM DIT BOUBOUL Kerroum Abdelkrim : Monsieur 100.000 volts
par Adjal Lahouari
L Baghdadi
Voici un article qui retrace la vie de MONSIEUR KERROUM ABDELKRIM DIT BOUBOUL Kerroum Abdelkrim : Monsieur 100.000 volts
par Adjal Lahouari
On dit que les apparences sont souvent trompeuses. A titre d’exemple, Kerroum Abdelkrim, même au temps de sa jeunesse, n’a jamais affolé l’aiguille d’une balance.
Et pourtant, tous ceux qui l’ont connu témoigneront qu’il était infatigable sur le terrain, avalant de nombreux kilomètres sans montrer le moindre signe de fatigue, à tel point qu’il a été affublé du qualificatif « M. 100.000 volts ». Son allure frêle a trompé de nombreux adversaires qui croyaient que Abdelkrim refusait d’aller au contact. Doté d’une technique sans faille et d’une bonne vision de jeu, Kerroum a occupé le poste de milieu de terrain, là où résident les clés d’un match. Kerroum, en 20 ans de carrière, s’est toujours distingué par son inlassable activité.
Très précoce, il a été titulaire en seniors alors qu’il était encore junior. A Albi et au FC Sète, il fait l’unanimité. A tel point que l’entraîneur Yvan Beck dira: « C’est le seul qui conduit le ballon la tête haute. » Il est souligné que « sous la conduite de Belmanya (futur entraîneur de l’équipe nationale d’Espagne), ce joueur, pétri de qualités, fera de gros progrès, et qu’au travers de l’amateur percera vite le professionnel ». C’était bien vu, puisque Kerroum fera les beaux jours du FC Sète et de l’AS Troyes, avant d’endosser le maillot de l’équipe du FLN, de l’EN et du MC Saïda après l’indépendance.
Lorsqu’on lui demande quel a été le secret de cette réussite, il dira « que la seule recette, c’est d’aimer ce que l’on fait, avec sérieux et professionnalisme ». Voilà, le message est lancé. Puisse-t-il être reçu par les générations montantes...
C’est simple: Amara et Kerroum se connaissent depuis près de 60 ans. Un bail. C’est parti depuis les rencontres juniors MCS-GCS au début de la décennie 50. Tous deux natifs de la même ville, Saïda, leurs routes se sont souvent croisées sous différents cieux, en France lorsqu’ils étaient professionnels, puis au sein de l’équipe du FLN qu’ils rejoindront en 1960. Puis, le MC Saïda les a réunis grâce aux efforts du président Hamidat. Son action a payé, puisque le MCS a gagné le coupe d’Algérie 1965 face à l’ES Mostaganem. En équipe nationale également, Kerroum et Amara ont uni leurs efforts, à la satisfaction générale, face à des équipes huppées telles la Yougoslavie, l’Allemagne, la Tunisie et la Chine.
C’est que leurs styles étaient complémentaires, les deux hommes possédant une force de frappe peu commune qui a surpris de nombreux gardiens de but de l’époque. Leurs routes se sont séparées avant de se croiser.
Après une saison à Bordeaux et à Troyes, Amara et Kerroum se retrouvent sous le maillot blanc du MCS. Ensuite, Amara va à Tiaret pour un bout de temps, alors que Kerroum ne quitte Saïda qu’en 1969. Lorsque Amara revient prendre en charge le MCS, Kerroum s’était installé à Mohammadia, avant de succéder à son compagnon au Mouloudia en 1972-1973 et d’effectuer deux virées du côté de Chlef et Sig. Kerroum s’est ancré définitivement à Mohammadia, tandis que Amara est revenu dans sa chère ville natale.
En de nombreuses circonstances, jubilés, colloques sur l’histoire du football, dans les campus universitaires, on les retrouve disponibles et prêts à apporter l’éclairage nécessaire grâce à leur expérience et à leur vision du jeu à onze. Ce fut le cas récemment à l’USTO (où ont été également sollicités Rouaï et Bekhloufi) et à Aïn El-Hadid, à l’occasion de la cérémonie de la remise des prix aux lauréats 2007-2008 par l’association «Akram non à la violence». Leur sens de l’analyse est resté intact et on se demande pourquoi les décideurs ne tiennent pas compte de leurs avis frappés du sceau de la pertinence.
Ce sont deux personnalités au caractère bien trempé et différent. On dit que Kerroum est entier dans ses opinions, alors que Amara est plus diplomate. Les deux hommes se comprennent vite, un seul regard suffit. Leur amitié, forgée par les années d’exil en Tunisie et en France, est restée intacte. Un bien bel exemple à méditer pour les générations actuelles et à venir, car l’amitié sincère est indéfectible.
Ce mercredi 26 octobre 1960, l’atmosphère était pesante pour les «évadés» Kerroum, Amara, Oualiken et Bouricha qui se trouvaient dans le restaurant de l’hôtel «La Cigogne» de Genève. Lorsque le garçon annonça qu’il y avait au menu des pommes vapeur, Kerroum, véritable boute-en-train, déclara. «Donnez-moi des pommes, mais pas beaucoup de vapeur !» . Ce fut un fou rire général qui détendit l’ambiance.
Le comité d’accueil à Tunis, constitué par Rouaï, Bekhloufi, Mekhloufi, Soukhane et Boubekeur, était impatient de connaître Kerroum, présenté par les revues spécialisées France-Football et Miroir des Sports comme une grande vedette. C’est que la photo en Une était plutôt avantageuse, où Kerroum apparaissait athlétique, avec un gabarit impressionnant. Le plus intrigué était Boubekeur, à la forte carrure. Lors des présentations, ce dernier n’en croyait pas ses yeux, car Kerroum ne mesurait qu’un mètre 69. Ce furent des éclats de rire et une réception très cordiale.
Diplômé de l’INF Vichy avec Michel Larqué, Kerroum a entraîné le MCS, l’ASO, le SAM, le CCS, les sélections militaires d’Oran et de Nouvion. Il y a cinq années, il a créé une école de football où les poussins et les benjamins constituent le vivier du SA Mohammadia. Kerroum est épaulé par Chaouche et deux TSS.
Dans la décennie 80, le junior Hocine Benchenine a estimé avoir raté son bac à cause du football. Kerroum lui a alors conseillé de ne pas courir après deux lèvres. Message reçu cinq sur cinq. L’étudiant à pris ses distances avec le football, décrochant ainsi son précieux diplôme.
Kerroum mène une vie heureuse, entouré par l’affection de ses enfants et petits-enfants. Son petit-fils, prénommé comme lui Abdelkrim, vient d’avoir sa sixième, à la grande joie du patriarche.
C’est au «village Boudia» de Saïda que Kerroum a forgé sa technique aux côtés de Mokri, Guerroudj, Mokhtari, qui allaient devenir ses coéquipiers en seniors, au MC Saïda, présidé par le docteur Djebbari qui a succédé au progressiste Martinot après cinq mois seulement.
MCS-GCM a été le dernier match joué par Kerroum avant le retrait des clubs algériens. Le titre régional était en jeu et le Gallia avait gagné. Il y a eu alors un envahissement de terrain et des incidents à Saïda. On a déploré des blessés et une cinquantaine d’interpellations. Le Mascaréen Sadek en a eu pour trois mois, ayant été gravement blessé à la bouche.
Après la fameuse grève de 1957, beaucoup de jeunes Algériens ont été arrêtés. Kerroum fut parmi eux. Après trois jours dans une caserne à Mascara, plusieurs dizaines de Saïdéens furent embarqués dans un bateau vers Marseille. Officiellement, ils devaient effectuer leur service militaire, Kerroum ayant été muté à Albi.
A Albi, et grâce au football, Kerroum est devenu le chouchou de cette ville où il rencontra d’autres Algériens comme Lekkak, Maouche (frère du premier président de la FAF en 1962), le gardien de but Gharbi et l’ailier Guidji. Lors du match d’essai, Kerroum a inscrit six buts, ce qui attira l’attention des clubs de Toulouse, Le Havre, Limoges, Sochaux et Troyes.
Avec l’AS Troyes, Kerroum a joué au stade Bernabeu contre le grand Real Madrid des Di Stéfano, Puskas, Kopa et Gento. Il a conservé une photo de ce mémorable moment de sa carrière. A la mi-temps, Troyes menait 1 à 0, mais a cédé au deuxième période, encaissant quatre buts.
N’ayant que l’embarras du choix pour parapher une licence professionnelle, Kerroum a opté pour le FC Sète, qui avait déjà accueilli par le passé plusieurs joueurs algériens, tels Bentifour et Arribi, sous oublier les anciens de l’Ouest qui les ont précédés.
Roger Courtois, entraîneur de Troyes, pour contrer Mekhloufi alors au summum de son art, s’est confié à Kerroum. «Je m’en charge», répondra ce dernier qui s’est acquitté de sa tâche en employant, une fois, la manière forte.
Ce qui n’a pas offusqué la vedette de St-Etienne. «Il m’a regardé en souriant et je lui ai lancé: aujourd’hui, c’est «El-Khobza !», témoignera Hadj Kerroum. Les deux hommes se retrouveront plus tard à Tunis, au sein de l’équipe du FLN.
«Si l’O. Marseille avait un Kerroum dans sa ligne d’attaque, il ne serait pas en division II. Ce Kerroum nous a rappelé Ben Barek». C’est la réflexion d’un supporter marseillais au terme du match Albi-Sélection des Bouches-du-Rhône, gagné 3 à 0 avec l’art et la manière avec un Kerroum sensationnel, auteur d’un but d’anthologie. Parti de la ligne médiane, Kerroum a passé en revue quatre adversaires avant de tromper le gardien. Non, ce n’est pas une histoire marseillaise, mais bel et bien un fait authentique.
Et pourtant, tous ceux qui l’ont connu témoigneront qu’il était infatigable sur le terrain, avalant de nombreux kilomètres sans montrer le moindre signe de fatigue, à tel point qu’il a été affublé du qualificatif « M. 100.000 volts ». Son allure frêle a trompé de nombreux adversaires qui croyaient que Abdelkrim refusait d’aller au contact. Doté d’une technique sans faille et d’une bonne vision de jeu, Kerroum a occupé le poste de milieu de terrain, là où résident les clés d’un match. Kerroum, en 20 ans de carrière, s’est toujours distingué par son inlassable activité.
Très précoce, il a été titulaire en seniors alors qu’il était encore junior. A Albi et au FC Sète, il fait l’unanimité. A tel point que l’entraîneur Yvan Beck dira: « C’est le seul qui conduit le ballon la tête haute. » Il est souligné que « sous la conduite de Belmanya (futur entraîneur de l’équipe nationale d’Espagne), ce joueur, pétri de qualités, fera de gros progrès, et qu’au travers de l’amateur percera vite le professionnel ». C’était bien vu, puisque Kerroum fera les beaux jours du FC Sète et de l’AS Troyes, avant d’endosser le maillot de l’équipe du FLN, de l’EN et du MC Saïda après l’indépendance.
Lorsqu’on lui demande quel a été le secret de cette réussite, il dira « que la seule recette, c’est d’aimer ce que l’on fait, avec sérieux et professionnalisme ». Voilà, le message est lancé. Puisse-t-il être reçu par les générations montantes...
Une solide amitié
C’est simple: Amara et Kerroum se connaissent depuis près de 60 ans. Un bail. C’est parti depuis les rencontres juniors MCS-GCS au début de la décennie 50. Tous deux natifs de la même ville, Saïda, leurs routes se sont souvent croisées sous différents cieux, en France lorsqu’ils étaient professionnels, puis au sein de l’équipe du FLN qu’ils rejoindront en 1960. Puis, le MC Saïda les a réunis grâce aux efforts du président Hamidat. Son action a payé, puisque le MCS a gagné le coupe d’Algérie 1965 face à l’ES Mostaganem. En équipe nationale également, Kerroum et Amara ont uni leurs efforts, à la satisfaction générale, face à des équipes huppées telles la Yougoslavie, l’Allemagne, la Tunisie et la Chine.
C’est que leurs styles étaient complémentaires, les deux hommes possédant une force de frappe peu commune qui a surpris de nombreux gardiens de but de l’époque. Leurs routes se sont séparées avant de se croiser.
Après une saison à Bordeaux et à Troyes, Amara et Kerroum se retrouvent sous le maillot blanc du MCS. Ensuite, Amara va à Tiaret pour un bout de temps, alors que Kerroum ne quitte Saïda qu’en 1969. Lorsque Amara revient prendre en charge le MCS, Kerroum s’était installé à Mohammadia, avant de succéder à son compagnon au Mouloudia en 1972-1973 et d’effectuer deux virées du côté de Chlef et Sig. Kerroum s’est ancré définitivement à Mohammadia, tandis que Amara est revenu dans sa chère ville natale.
En de nombreuses circonstances, jubilés, colloques sur l’histoire du football, dans les campus universitaires, on les retrouve disponibles et prêts à apporter l’éclairage nécessaire grâce à leur expérience et à leur vision du jeu à onze. Ce fut le cas récemment à l’USTO (où ont été également sollicités Rouaï et Bekhloufi) et à Aïn El-Hadid, à l’occasion de la cérémonie de la remise des prix aux lauréats 2007-2008 par l’association «Akram non à la violence». Leur sens de l’analyse est resté intact et on se demande pourquoi les décideurs ne tiennent pas compte de leurs avis frappés du sceau de la pertinence.
Ce sont deux personnalités au caractère bien trempé et différent. On dit que Kerroum est entier dans ses opinions, alors que Amara est plus diplomate. Les deux hommes se comprennent vite, un seul regard suffit. Leur amitié, forgée par les années d’exil en Tunisie et en France, est restée intacte. Un bien bel exemple à méditer pour les générations actuelles et à venir, car l’amitié sincère est indéfectible.
Pommes vapeur
Ce mercredi 26 octobre 1960, l’atmosphère était pesante pour les «évadés» Kerroum, Amara, Oualiken et Bouricha qui se trouvaient dans le restaurant de l’hôtel «La Cigogne» de Genève. Lorsque le garçon annonça qu’il y avait au menu des pommes vapeur, Kerroum, véritable boute-en-train, déclara. «Donnez-moi des pommes, mais pas beaucoup de vapeur !» . Ce fut un fou rire général qui détendit l’ambiance.
Gabarit
Le comité d’accueil à Tunis, constitué par Rouaï, Bekhloufi, Mekhloufi, Soukhane et Boubekeur, était impatient de connaître Kerroum, présenté par les revues spécialisées France-Football et Miroir des Sports comme une grande vedette. C’est que la photo en Une était plutôt avantageuse, où Kerroum apparaissait athlétique, avec un gabarit impressionnant. Le plus intrigué était Boubekeur, à la forte carrure. Lors des présentations, ce dernier n’en croyait pas ses yeux, car Kerroum ne mesurait qu’un mètre 69. Ce furent des éclats de rire et une réception très cordiale.
Ecole de football
Diplômé de l’INF Vichy avec Michel Larqué, Kerroum a entraîné le MCS, l’ASO, le SAM, le CCS, les sélections militaires d’Oran et de Nouvion. Il y a cinq années, il a créé une école de football où les poussins et les benjamins constituent le vivier du SA Mohammadia. Kerroum est épaulé par Chaouche et deux TSS.
Lièvres
Dans la décennie 80, le junior Hocine Benchenine a estimé avoir raté son bac à cause du football. Kerroum lui a alors conseillé de ne pas courir après deux lèvres. Message reçu cinq sur cinq. L’étudiant à pris ses distances avec le football, décrochant ainsi son précieux diplôme.
Grand-père
Kerroum mène une vie heureuse, entouré par l’affection de ses enfants et petits-enfants. Son petit-fils, prénommé comme lui Abdelkrim, vient d’avoir sa sixième, à la grande joie du patriarche.
Coéquipiers
C’est au «village Boudia» de Saïda que Kerroum a forgé sa technique aux côtés de Mokri, Guerroudj, Mokhtari, qui allaient devenir ses coéquipiers en seniors, au MC Saïda, présidé par le docteur Djebbari qui a succédé au progressiste Martinot après cinq mois seulement.
Dernier match
MCS-GCM a été le dernier match joué par Kerroum avant le retrait des clubs algériens. Le titre régional était en jeu et le Gallia avait gagné. Il y a eu alors un envahissement de terrain et des incidents à Saïda. On a déploré des blessés et une cinquantaine d’interpellations. Le Mascaréen Sadek en a eu pour trois mois, ayant été gravement blessé à la bouche.
Grève
Après la fameuse grève de 1957, beaucoup de jeunes Algériens ont été arrêtés. Kerroum fut parmi eux. Après trois jours dans une caserne à Mascara, plusieurs dizaines de Saïdéens furent embarqués dans un bateau vers Marseille. Officiellement, ils devaient effectuer leur service militaire, Kerroum ayant été muté à Albi.
Buts
A Albi, et grâce au football, Kerroum est devenu le chouchou de cette ville où il rencontra d’autres Algériens comme Lekkak, Maouche (frère du premier président de la FAF en 1962), le gardien de but Gharbi et l’ailier Guidji. Lors du match d’essai, Kerroum a inscrit six buts, ce qui attira l’attention des clubs de Toulouse, Le Havre, Limoges, Sochaux et Troyes.
Real Madrid
Avec l’AS Troyes, Kerroum a joué au stade Bernabeu contre le grand Real Madrid des Di Stéfano, Puskas, Kopa et Gento. Il a conservé une photo de ce mémorable moment de sa carrière. A la mi-temps, Troyes menait 1 à 0, mais a cédé au deuxième période, encaissant quatre buts.
Conseils
N’ayant que l’embarras du choix pour parapher une licence professionnelle, Kerroum a opté pour le FC Sète, qui avait déjà accueilli par le passé plusieurs joueurs algériens, tels Bentifour et Arribi, sous oublier les anciens de l’Ouest qui les ont précédés.
Marquage
Roger Courtois, entraîneur de Troyes, pour contrer Mekhloufi alors au summum de son art, s’est confié à Kerroum. «Je m’en charge», répondra ce dernier qui s’est acquitté de sa tâche en employant, une fois, la manière forte.
Ce qui n’a pas offusqué la vedette de St-Etienne. «Il m’a regardé en souriant et je lui ai lancé: aujourd’hui, c’est «El-Khobza !», témoignera Hadj Kerroum. Les deux hommes se retrouveront plus tard à Tunis, au sein de l’équipe du FLN.
Eloges
«Si l’O. Marseille avait un Kerroum dans sa ligne d’attaque, il ne serait pas en division II. Ce Kerroum nous a rappelé Ben Barek». C’est la réflexion d’un supporter marseillais au terme du match Albi-Sélection des Bouches-du-Rhône, gagné 3 à 0 avec l’art et la manière avec un Kerroum sensationnel, auteur d’un but d’anthologie. Parti de la ligne médiane, Kerroum a passé en revue quatre adversaires avant de tromper le gardien. Non, ce n’est pas une histoire marseillaise, mais bel et bien un fait authentique.
baghdadi laaredj- membre super actif
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Localisation : Saida
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Date d'inscription : 02/02/2008
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