SAIDABIÎDA Forum
Salut cher ami(e). Nous sommes heureux de vous accueillir parmi nous au sein de notre grande famille de Saidabiida. Pour cela, nous vous invitons à vous inscrire tout en postant un premier message de présentation de votre personne, sur la rubrique "présentation" en donnant par ex : votre lien avec Saida et comment vous avez découvert le forum. Votre compte ne sera activé qu'après votre premier message de présentation. Merci et bienvenue parmi vos siens.

Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

SAIDABIÎDA Forum
Salut cher ami(e). Nous sommes heureux de vous accueillir parmi nous au sein de notre grande famille de Saidabiida. Pour cela, nous vous invitons à vous inscrire tout en postant un premier message de présentation de votre personne, sur la rubrique "présentation" en donnant par ex : votre lien avec Saida et comment vous avez découvert le forum. Votre compte ne sera activé qu'après votre premier message de présentation. Merci et bienvenue parmi vos siens.
SAIDABIÎDA Forum
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-55%
Le deal à ne pas rater :
Coffret d’outils – STANLEY – STMT0-74101 – 38 pièces – ...
21.99 € 49.04 €
Voir le deal

Barbarie de l'OAS à Saida

Aller en bas

Barbarie de l'OAS à Saida Empty Barbarie de l'OAS à Saida

Message par adem lakhdar Lun 12 Oct 2009 - 6:08

Sources: les historiens Rémi Kauffer ,Guy Pervillé ,Rudolph J. Rummel
alors que l'on s'acheminait vers la conclusion des accords d'Evian et un cessez le feu l'Oraganisation de l'Armée secrète (OAS) est créée le 11 février 1961 à Madrid par des extrémistes de l'« Algérie française » Jean-Jacques Susini et Pierre Lagaillarde
Elle regroupait les partisans du maintien par le biais de la terreur de L’Algérie est française
cette organisation était combatu à la fois par le FLN et es services secrets français
l'OAS se démarquait de la guerilla par le racket des personnes aisées , par des plasticages et des mitraillages aveugles sans distinction entre européens et agents français ;parmi les victimes du plasticages des intellectuels algériens tel l'avocat Moulay qui habitait une maison en face de l'école Berthelot
l’OAS a également détruit des oeuvres architecturales tel le théâtre de la ville, une merveille de l’architecture italienne. Selon l'historien français Rémi Kauffer estime que l'OAS a tué entre 1 700 et 2 000 personnes. Le journaliste américain Paul Hénissart cite lui une source officieuse selon laquelle le nombre de victimes tuées en Algérie s'élève à 2 200. L'historien français Guy Pervillé, s'appuyant sur deux rapports des forces de l'ordre (l'un de la Sûreté nationale, l'autre du général Fourquet, commandant supérieur des troupes françaises), et considérant l'« escalade de la violence » entre le printemps et l'été 1962, estime que ce chiffre est peut-être inférieur à la réalité. Rudolph J. Rummel considère lui que le nombre de victimes s'élève à au moins 12 500 (12 000 civils et 500 membres des forces de l'ordre), estimation comparable à celle de Charles de Gaulle dans ses Mémoires d'espoir. .

En 1962, 635 membres de l'OAS sont arrêtés. 224 sont ensuite jugés, dont 117 acquittés, cinquante-trois condamnés à une peine de prison avec sursis, trente-huit à une peine de prison ferme, trois sont condamnés à mort et exécutés (Roger Degueldre, Claude Piegts et Albert Dovecar), ainsi que Bastien-Thiry, non-membre de l'OAS. Les arrestations ultérieures permettent de porter le nombre de condamnés à 3 680 (décompte de Rémy Kauffer, qui estime par ailleurs que les policiers, gendarmes, militaires et barbouzes ont tué plusieurs centaines de membres de l'OAS pendant la guerre). Plusieurs membres de l'OAS se sont réfugiés à l'étranger, notamment en Espagne, au Portugal et en Amérique du Sud.

adem lakhdar
membre super actif
membre super actif

Masculin
Localisation : saida
Nombre de messages : 655
Date d'inscription : 22/06/2009

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum